Banlieue Parisienne, trois ans avant la révolte étudiante de 68, Patrick Merle voit le jour dans une modeste famille d’enseignants.

Cette période agitée reflète son tempérament rebelle.
Il passe son enfance et sa scolarité à faire rire ses petits camarades, à inventer des histoires. Il se rêve en "Zoro", en guerrier "Peau-rouge". Sa mère l’initie au piano, mais il est bien trop dissipé et il ne veut pas faire "comme les autres". Plus tard il sera "Chevalier Jedi", comme sabre laser, une guitare et des paroles au service du "Côté lumineux".

Les premières notes se font sur une corde, à l’oreille, sur AC-DC, Bob Marley, Pink Floyd et Téléphone. Le premier instrument, une guitare classique avec des codes de guitare électrique. Le premier concert, à la basse en première partie d’Hugues Aufray sur une scène “découverte jeunes talents”.

Après plusieurs groupes au chant, à la guitare ou à la basse en région Parisienne, il performe, maintenant depuis dix ans sur Montpellier ou il affiche un style Pop-Rock teinté de Reggae, de Ska, avec une pointe Hispanique par-ci, un Beat Techno par-là.

En Français, en Anglais, ça pétille, ça groove, ça envoie du bois, ça plane aussi, avec le même leitmotiv : L’Amour. Chanté, crié, parfois caché entre les lignes avec humour, et toujours orienté plein sud :
Côté ensoleillé.